Critique: Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre

C’est l’histoire de deux femmes rejetées par la société, qui ont quitté leur pays et se sont installées loin de sa famille et des dangers de la civilisation.  Elles se connaissent, et la seule chose qu’elles veulent est vivre simplement et élever ensemble leurs deux enfants, Paul et Virginie. Ces deux enfants s’aiment depuis toujours, mais ils se sont apartés pour circonstances de la vie.

J’ai lu un livre adapté en français facile, peut-être c’est pour ça que l’histoire a été réduit significativement. Mais, des mon point de vue, c’est intéressant comme l’auteur, en peu pages, a pu faire suffisant emphases sur la situation d’esclavage qu’avait en France à l’époque (XVII siècle). Il a montré deux situations de la vie des esclaves : la première, c’était sur les mauvais traitements et la vie inhumaine des esclaves qui ont un maître méchant, et la deuxième, c’était sur les esclaves qui ont vécu en parfait harmonie et égalité avec leur maîtres (les deux femmes de l’histoire).  On peut considérer qu’à l’époque, manquant un siècle par l’abolition de l’esclavage, l’auteur a mis en évidence l’existence des personnes qui n’étaient pas d’accord avec ce type de traitement.

On peut trouver aussi dans ce livre, une très jolie histoire d’amour, où deux jeunes vivent ensemble et en même temps ils sont amoureux. Près que tout le livre décrit la façon dont ils ont grandi, leur mode de vie, leurs habitudes, et leurs expériences, en fin, l’histoire du quotidienne de ceux deux jeunes quand ils étaient ensemble, mais, l’auteur a dédié seulement le chapitre final à la partie de l’histoire quand Paul et Virginie se sont apartés, et comme ils ont fait l’effort de se rencontrer. Bernardin a maintenu l’intérêt de l’histoire au long du livre, mais la fin n’était pas aussi bon, en plus, c’était assez triste.

Je pense que les deux seules choses qui était intéressant, a été le thème de l’esclavage (qui n’était pas très long), et certains aspects de l’histoire d’amour. Vraiment, si quelqu’un veut savoir sur l’esclavage en France, ce mieux lire un autre livre ou faire un recherche sur l’internet, également, il a d’autres histoires d’amour qui sont plus belles. Je laisse à votre discrétion de lire ou pas.

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3 réponses à Critique: Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre

  1. lia dit :

    super avis BRAVO je te félicite chacal

  2. ashleyc dit :

    Correction de ma critique:

    C’est l’histoire de deux femmes rejetées par la société, qui ont quitté leur pays et se sont installées loin de leurs familles et des dangers de la civilisation. Elles se connaissent, et la seule chose qu’elles veulent est vivre simplement et élever ensemble leurs deux enfants, Paul et Virginie. Ces deux enfants s’aiment depuis toujours, mais ils se sont quittés pour circonstances de la vie.

    J’ai lu un livre adapté en français facile, peut-être c’est pour ça que l’histoire a été réduit significativement. Mais, à mon avis, c’est intéressant comme l’auteur, en peu pages, a pu mettre l’accent suffisamment sur la situation d’esclavage qu’avait en France à l’époque (XVII siècle). Il a montré deux situations de la vie des esclaves : la première, c’était sur les mauvais traitements et la vie inhumaine des esclaves qui ont un maître méchant, et la deuxième, c’était sur les esclaves qui ont vécu en parfait harmonie et égalité avec leur maîtres (les deux femmes de l’histoire). On peut considérer qu’à l’époque, un siècle avant l’abolition de l’esclavage, l’auteur a mis en évidence l’existence des personnes qui n’étaient pas d’accord avec ce type de traitement.

    On peut trouver aussi dans ce livre, une très jolie histoire d’amour, où deux jeunes vivent ensemble et en même temps ils sont amoureux. L’auteur a décrit dans le livre la façon dont ils ont grandi, leur mode de vie, leurs habitudes, et leurs expériences, en général, l’histoire du quotidienne de ceux deux jeunes quand ils étaient ensemble, mais, l’auteur a dédié seulement le chapitre final à la partie de l’histoire quand Paul et Virginie se sont apartés, et comme ils ont fait l’effort de se retrouver. Bernardin a maintenu l’intérêt de l’histoire au long du livre, mais la fin n’était pas aussi bonne, en plus, c’était assez triste.

    Je pense que les deux seules choses qui était intéressant, a été le thème de l’esclavage (qui n’était pas très long), et certains aspects de l’histoire d’amour. Vraiment, si quelqu’un veut savoir sur l’esclavage en France, c’est mieux lire un autre livre ou faire une recherche sur l’internet, également, il a d’autres histoires d’amour qui sont plus belles. Je laisse à votre discrétion de lire ou pas.

  3. Laure Chotel dit :

    Merci Ashley pour ce premier article!

    La structure de ta critique est bonne : présentation rapide de l’histoire, deux axes intéressants de l’histoire : la critique de l’esclavage et l’histoire d’amour entre les deux protagonistes, enfin ton point de vue sur le livre.

    Concernant ta présentation de l’histoire, tu aurais pu donner un peu plus de détails car on ne comprend pas immédiatement le lien entre l’histoire d’amour et l’esclavage. En outre, on ne comprend pas réellement ce qui sépare Paul et Virginie (quelles circonstances?). Pourtant il y a une raison bien particulière qui fait que Paul et Virginie sont séparés…
    Petit point historique : le livre a été publié en 1788, donc au 18ème siècle (et non au 17è). C’est notamment ce qui explique le côté éclairé (siècle des Lumières) du point de vue de l’auteur contre l’esclavage.

    Quelques erreurs à corriger :
    – erreur sur un possessif : « C’est l’histoire de deux femmes rejetées par la société, qui ont quitté leur pays et se sont installées loin de sa famille »
    – hispanisme à corriger car un francophone ne comprend pas la phrase : « ils se sont apartés pour circonstances de la vie »
    – revoir l’orthographe de l’expression : « des mon point de vue »
    – adjectif/adverbe : ce qui permet de nuancer le verbe est un adverbe, pas un adjectif : « l’auteur a pu faire suffisant emphases sur la situation d’esclavage »
    – hispanisme qui génère un contresens : « emphase » : on dira plutôt en français « mettre l’accent sur », « insister sur ».
    – hispanisme : « manquant » un siècle par l’abolition de l’esclavage ».
    – expression à revoir (orthographe) : « Près que tout le livre… » + « en fin »
    – « et comme ils ont fait l’effort de se rencontrer » => et comment ils ont fait l’effort de se retrouver? (je ne comprends pas le sens puisqu’ils se sont rencontrés quand ils étaient petits).
    – accord féminin/masculin + singulier/pluriel : « la fin n’était pas aussi bon », « les deux seules choses qui était intéressant ».
    – verbe : « ce mieux lire un autre livre »

    Laure

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