« Femmes dans la ville » est un roman de Thierry Crifo qui présente deux histoires dans le même livre, la première histoire s’appelle « Las Portes de la Liberté », et la deuxième histoire s’appelle « Marguerite et les Dimanches ». Les deux histoires se déroulent à Paris et sa banlieue, comme le titre du livre suggère. La première histoire parle de Maryse Lemarchant, une femme presque de quarante ans qui a sorti de prison. Elle est restée en prison injustement mais juste après avoir quitté la prison elle a de la possibilité de révèlent à 2 jeunes voleurs et de envoyer leur à la prison. Etrangement, Maryse leur permet aller librement.
La deuxième histoire parle de Marguerite Dupré, une femme qui a 79 ans et qui a d’une vie pleine d’activité. Marguerite a d’une semaine bien planifiée avec des activités pour tous les jours et le dimanche sont très spéciaux pour elle. Mais la vie, il a prévu pour elle un dimanche plus encore spécial.
Le roman est très descriptif et il est capable de décrire très bien les personnages. Je trouve Las Portes de la Liberté comme une histoire facile à comprendre et facile à suivre. Autant que Je la trouve réaliste, autant autres personnes peuvent trouver lui un peux contradictoire.
Marguerite et les Dimanches est une histoire plus compliquée parce que elle manque de une séquence linéaire. Je crois que c’est une histoire poétique que parle surtout de l’amour mais Je pense qui elle est beaucoup plus triste, très émouvant et un peu lacrymal aussi.
En résumé, le livre est très bon pour l’apprentissage du vocabulaire et pour décrire les personnes et les situations mais Je trouve la relation entre les deux histoires plutôt fragile.
« Femmes dans la ville » est un roman de Thierry Crifo qui présente deux histoires très différentes dans le même livre, la première histoire s’appelle « Les Portes de la Liberté », et la deuxième histoire s’appelle « Marguerite et les Dimanches ». Les deux histoires se déroulent à Paris et à sa banlieue, comme le titre du livre nous suggère. La première histoire parle de Maryse Lemarchant, une femme de presque quarante ans qui a sortie de prison. Elle est restée en prison injustement mais juste après avoir quitté la prison elle a la possibilité de dénoncer à 2 jeunes voleurs et de les envoyer en prison. Etrangement, Maryse leur permettre aller librement.
La deuxième histoire parle de Marguerite Dupré, une femme qui a 79 ans et qui a une vie pleine d’activité. Marguerite a une semaine bien planifiée avec des activités pour tous les jours et le dimanche est très spécial pour elle. Mais la vie a prévu pour elle un dimanche plus encore spécial.
Le roman est très descriptif et il est capable de décrire très bien les personnages. Je trouve que Les Portes de la Liberté est une histoire facile à comprendre et facile à suivre. Je la trouve réaliste, autant que autres personnes peuvent trouver la un peu contradictoire.
Marguerite et les Dimanches est une histoire plus compliquée parce qu’elle manque d’une séquence linéaire. Je crois que c’est une histoire poétique que parle surtout de l’amour mais je pense que elle est beaucoup plus triste, très émouvant et un peu dramatique aussi.
En résumé, le livre est très bon pour l’apprentissage du vocabulaire et pour décrire les personnes et les situations mais je trouve la relation entre les deux histoires plutôt fragile. On peut dire que cette relation seulement réside dans la localisation géographique.
Bonjour Jose,
Je t’ai écrit quelques commentaires dans ce document : https://cultures.wp.imt.fr/files/2011/11/correction_Jose_Rios.pdf
Laure